J’aurais préféré Baudelaire heureux

(13 avis client)

CHF 29.00

Le premier livre de Béatrice Riand

Site web de l’auteur : https://beatriceriand.ch/

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13 avis pour J’aurais préféré Baudelaire heureux

  1. Jean-Claude Savoy (client confirmé)

    C’est un livre extraordinaire, reçu ce matin et terminé ce soir. Il montre la souffrance de l’auteure, avec une écriture extrêmement soignée, poétique parfois, incisive toujours. Il dit l’indicible et, notamment, la faillite de toute une chaîne hiérarchique. Il y a harcèlement sexuel, harcèlement psychologique, dénigrement. Reste à savoir à qui s’adresser en cas de problème.

  2. Carole Gollut (client confirmé)

    Le risque d’enseigner est connu, également à cause de la maltraitance institutionnelle. L’école est déjà un lieu où s’affrontent déjà continuellement, pour l’enseignant, l’idéalisation et le principe de réalité.
    Dans ce livre (à lire absolument), c’est l’histoire d’un terrain qui subit une désertification. L’humanité s’en va. C’est l’effet désastreux d’une organisation qui dénigre, qui blesse, qui s’aveugle et qui ne sait pas créer les conditions d’une revitalisation du corps enseignant.
    Là où il y a travail sans reconnaissance advient toujours la souffrance.
    Certes les enjeux psychiques liés à l’histoire du sujet interfèrent, toujours… Certes, la crise du lien est générale dans notre société augmentant encore l’insuffisante reconnaissance, mais la souffrance psychique infligée par la situation de travail ne se justifie jamais et en rien. Une organisation qui réduit l’enseignant, les enseignants, à des objets rend malade et par ses contraintes empêche les professionnels de faire leur travail.
    Nous saluons ce livre et son écriture à la fois aride et sensible, qui nous fait traverser avec l’auteur l’horreur. Il rend compte de la souffrance au travail (souffrance somatique et psychique) avec tant de précisions…
    A côté de notre interrogation sur le système de justice en place, nous nous demandons encore comment sortir de la binarité pour dépasser ce qui oppose les institutions contraignantes et les sujets menacés.

  3. JCPraz (client confirmé)

    Un livre magnifique qui rend bien la souffrance de l’auteure. A lire parfois avec les tripes, le second cerveau lorsque les phrases ne respirent plus, traduisant une énorme angoisse; ou lorsqu’elles hyperventilent au moment où la raison perd pied, submergée par la panique: que faire, que faire?
    Et à la fin de l’ouvrage, nous avons la même question. Que faire? Vers qui se tourner lorsque le système dysfonctionne, en raison de la lâcheté, de l’incompétence ou du mépris de certains responsables? Le livre nous l’explique dans la dernière phrase. Il est maintenant le temps de tourner la page. Mais quel chemin douloureux pour y parvenir.

  4. Ademar

    3 sur combien ?

  5. tagette09

    Déjà lu , superbe mais douloureux à lire

  6. Poudrier Nicole

    Bravo pour les écrivains que tu mets au monde … un certain S. Bisous mon amie d’enfance et de toujours.

  7. silence77

    C est un livre emplit de subtilités si toutefois il est l inverse en l adage l on trouve souvent le diable entre les lignes ! Mise en lumière d un mot que la souffrance si lecture était heureuse ? Pudeure étant de maux .
    D un intérêt de ce temps …
    richard pralong

  8. philippe T

    A lire absolument !!!

  9. Berthod Pierre

    J,ai lu le livre, pénible et douloureux mais très bien écrit, il y a de la plume. Incroyable cette pression d,un supérieur,fallait être solide pour résister

  10. Berthod Pierre

    Je l,ai donné plus haut

  11. Berthod Pierre

    J,ai lu le livre , pénible et douloureux,
    Incroyable cette pression d,un supérieur,
    Fallait être solide pour résister.

  12. Moira Hutter

    I wish to acknowledge with the upmost gratitude, Beatrice Riand’s great book, « J’aurais Préféré Baudelaire Heureux, which is both so courageous and so generous in her telling of her odeal by harassement when she was a teacher in a school by her director for far too long. I am sure that many women, like myself, will identify with it, a form of self discovery now and to come, of different forms of harrassement, in the social, professional, educational, institutional and private spheres. A form of moral Harrassement can occur in an institution such as a hospital. During a visit in a museum in Paris, in november 2017, I fell and the museum took full responsibility for it. At the end of January 2019, for hundred year for the celebration of the death of Egon Schiele, I was staying in Vienna, in a hotel, fell once more with unsufficient lightening. Thereafter, I enter the emergency to get an X-ray and diagnostic to be able to go back to Lausanne with only minor illness for seven-eight days with a brief and superficial contact with a possible psychiatrical diagnosic. A month passed until I was able to return the 4th February. Another hospitalization happened after the fall abroad was necessary to examine a possibe a third spontaneous fracture of the spinal vertebra. The fracture becoming obvious, and an operation on this vertebra was posponed, subsequently becoming too dangereous. I returned home. To sum up, I entered the CHUV on the 8th of March with a fractured right shoulder, a broncho-pneumonia, a fever at 38.3 degrees, an infection, a broken tooth and another infection in the mouth. My weight had gone down, from February, 56 kg and 400 grams to less than 48 kg on the 8th of March. On monday the 11th of March, the infirmiere of liason gave the treatment and convalescence. On the 12, I was put on the waiting list for a place in the clinic Sylvana. The 18th March 2020, I found myself at the end of the day, transfered from the Nestle hospital to the psychiatric hospital of Céry, learning later at the request of a close family member to be stabilized because I was talking too much. (Hospitalization from the 18th of March to the 21 of May)

  13. Moira Hutter

    So too many of these forms can be subtle and or subverside but always excoriating and destructive. and too often latent and unrecognized. Madam Riandˋs book can be considered a handbook as to the form of cure or therapy, a catharthis that is appropriate to each and every women. with their own particular form of problem due to their specific vulnerability and status: town/city, country, continent and economic cultural, social, political and judicial systems. these forms of harrasment do not start outside the home but already within, on the surface, nothing out of the ordinary, but underneath unresolved suffering of the psychic, genetic, physical background which is inadequate or unadapted to the conditions where that women/men need in which they live to break the chain of « causality », and by this avoiding the victimization in certain circumstances that are apt to disrupt their lives and prevent a full, rich experience of it.

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