Notre amour des gens d’ici et d’ailleurs a choisi de s’exprimer en-dehors de toute forme d’establishment.
Nous entendons exploiter les nouvelles formes de diffusion de l’information pour interroger les opinions et les analyses des médias établis, sur la base de nos divers domaines de compétences et de nos convictions. Nous n’identifions pas le statut de rédacteur au titre de journaliste : nos contributions jaillissent d’un engagement critique libéré des contraintes de la pratique médiatique.
Nous souhaitons ouvrir nos forums à l’ensemble des lecteurs, de façon à réaliser un portrait de notre canton de manière participative.
Le ton de nos articles embrasse l’ensemble du spectre stylistique, du billet d’humeur à l’analyse. La même liberté est offerte aux commentaires.
Nous revendiquons toutefois pour nos articles et les opinions que nous diffusons une série de règles simples :
- aucun texte ne sera diffusé sans modération préalable
- l’insulte et la calomnie sont vigoureusement combattues
- tout rédacteur (dans ou hors de « L’1dex ») doit être capable de citer les sources sur lesquelles il appuie sa réflexion
Nous posons par hypothèse que la dynamique de communication induite par le site www.1dex.ch est de nature à transformer sensiblement la réalité du Valais.
Sion, le 22 septembre 2011
Ce coup-ci le »Grand Foutage de Gueule » c’est celui du Président et de la Municipalité vis à vis des propriétaires de résidences secondaires d’Ovronnaz.
Tous les détails sur le site.
A+
Les autres cantons romands souhaitent(les blogueurs et les autres….) la part du gateau de ce beau cite de l’1dex.
Pour la romandie critique et libertaire.pourquoi pas?
Mardi 19 octobre 2021
VOYOUCRATIE
La confession ? Un sacré sacrement !
La Loi de l’Etat fait obligation à tout citoyen de dénoncer un CRIME dont il a connaissance sûre.
La Loi canonique de l’Eglise catholique l’INTERDIT à ses prêtres.
Choliques, sachez-le. VOLEZ, VIOLEZ, TUEZ tant que vous voudrez,
mais CONFESSEZ-VOUS EN, l’Eglise vous garantit l’impunité !
Depuis quelque temps déjà télévisions et autres médias bruissent de la Lutte finale entre l’Etat républicain laïque français et Mgr. Eric de Moulins-Beaufort archevêque de Reims, ce dernier soutenant que le secret sacré du sacrement de la confession est supérieur aux lois de l’Etat punissant forfaits et crimes commis même au détriment de la vie humaine. Soit, au choix :
– Un quidam a volé la rente minimale d’une veuve invalide et miséreuse ? Pas de problème de conscience : tu t’en es confessé, tu es absous non seulement devant Dieu mais aussi devant les lois humaines ;
– Un autre quidam a empoisonné ou étranglé à mort sa femme ? Idem. Secret garanti.
– Le vicaire de la paroisse de Vox a profité de son prestige auprès de l’un de ses enfants de chœur âgé de huit ans pour le persuader de garder, comme lui-même, le secret sur l’acte de sodomie qu’il lui fait subir après chaque messe dite. Idem.
– Ce même vicaire de Vox, dans son obligation de blanchir son âme avant de célébrer la sainte messe et de distribuer, de mains propres de tout péché, aux fidèles le corps du Christ, va confesser son péché de chair au curé de Sax ? Pas de problème : « Ego te absolvo a peccatis tuis… », trois Pater noster et deux Ave Maria et l’affaire est close.
– Mais le curé de Salins à son tour se confesse à Mgr l’évêque de Sixt et lui avoue qu’il vient de tuer par étranglement le petit garçon de Vox qui s’est mis à raconter partout les viols dont il est régulièrement victime de la part du vicaire de la paroisse, menaçant ainsi la glorieuse et éternelle sacrosainte réputation de l’Eglise catholique. Non seulement il s’en tire avec une pénitence de quelques Ave et Pater à réciter, mais avec les félicitations de l’évêque de Sixt et l’encouragement à perpétuer cette tradition justicière au nom de la Loi canonique qui est supérieure à la loi laïque et profane de l’Etat du Valais qui ne date que de 1815 alors que celle sacrée de l’Eglise de Dieu date de plus de 2000 ans.
C’est très exactement la loi même qu’imposent à leurs adeptes et à leurs suzerains LES MAFIAS DE SICILE, DE SARDAIGNE, DE NAPLES ET… DU VATICAN !
c.q.f.d.
NP
Post scriptum.
Mon père, je m’accuse d’avoir camouflé ma véritable identité derrière l’anonymat des initiales NP.
– Ego te absolvo a peccatis tuis. Un Pater et un Ave.
– Ainsi soit-il.