SION JO 2026. SEUL LE KARATE PEUT SAUVER LE VALAIS (96)
Le karatéka le plus connu du Valais, très habile nous dit-on en kimono, est moins à l’aise dans l’utilisation de la langue française. C’est la raison peut-être pour laquelle il a choisi, écrit le NF, l’anglais. Et voici donc Frédéric F., dont le patronyme est celui qui a accompagné Jean-Claude Killy sur le podium des Jeux Olympiques d’Hiver à Grenoble en 1968 en slalom géant, feindre la maîtrise de l’américain ou imiter Barack O. en tentant de happer les derniers hésitants avant le vote des parlementaires sur le crédit de 100 millions pour les Jeux de l’an 2026 : « We will do it ! »
Frédéric F., l’amoureux du karaté, dont l’enseignement reçu a peut-être été inspiré de celui dispensé par les anciens moines du temple Shaolin, n’a pas hésité entre deux formes du futur. Il a choisi le « will » testamentaire et abandonné le « shall » plus britannique : « Shall would be more apt to be used in a situation when something is definitely going to happen », ce qui peut se traduire plus ou moins ainsi : « Shall devrait plus adéquatement être utilisé dans une situation impliquant que quelque chose est définitivement sur le point d’arriver ». Doit-on en conclure que Frédéric F. a encore, et ce serait intelligent de sa part, des doutes sérieux sur la réalité effective des Jeux d’Hiver en 2026 à Sion ? Personnellement, je ne crois pas du tout que la pensée de l’homonyme de Willy Favre ait été agité par une telle hésitation. Je crois au contraire qu’il a voulu choisir une expression performative née dans son imaginaire du célèbre slogan de Obama, « Yes, we can ». Voulant emballer les députés, cherchant peut-être une unanimité, voilà donc le chef cantonal de la police, le supérieur du commandant, choisir le « we will » et refuser « we can ». Serait-ce parce que le pélerin des Jeux est convaincu que les Jeux se réaliseront en Valais et qu’il sait que « no, we can’t », nous ne sommes pas capables de les organiser ?
On laissera la question en suspens. En revanche, cette question de la certitude d’un futur avec Jeux se retrouve dans un magnifique acte manqué du Nouvelliste, qui a soutenu que le vote des parlementaires valaisans du 9 mars était une sorte de quart de finale de coupe, la demi-finale se déroulant le 10 juin en Valais, puis la finale à Berne aux Chambres fédérales (ou l’inverse, peu importe). Un raisonnement qui tient donc pour certain que le CIO offrira les Jeux de 2026 à Sion et qu’il n’y aura plus personne à affronter devant l’assemblée plénière du comité internationale olympique.
Tout se jouera donc le 10 juin devant le peuple. La question devient alors différente : le matracage publicitaire tous azimuts, l’esprit extraordinairement moutonnier de nos députés, la peur d’affronter le karatéka sur le tatami médiatique, les barils de choucroute élevés à la gloire de l’initiant, les médailles de Ramon, la certitude que le Valais, contrairement à tous les autres, saura éviter les affres des déficits, la beauté de nos paysages imoérativement à exporter par l’image, l’incroyable aura de Nico Hischier et du mercure, l’analyse incroyablement subtile de la commission Logean sur la faisabilité de la chose, l’étourdissante maîtrise des coûts futurs, la jeunesse éternelle de Marius R., le sourire dévastateur de Géraldine dans les homes, la blancheur de notre neige inimitable et la force mentale supérieure des gens de chez nous anéantiront-ils les voix de tous ceux qui demandent à nos élus de rêver un peu moins, de penser un peu plus et d’imaginer un Valais autrement ?
Comme le dit si bien, en langage des signes, Kanga Sagukawa, ce n’est pas gagné !
Et c’est alors que le lecteur doit imaginer le Yoko Geri décisif donné par le peuple à ses élites déboussolées par la société du spectacle !
Oui, oui, je rêve.
Bonjour à tous les fans de Bruce Lee !
TOUS LES AMOUREUX DES SPORTS DE NEIGE ET DE LIBERTE D’EXPRESSION PEUVENT SOUTENIR L’1DEX :
Et vous avez vu ? Ces jeux qui devaient.. « rapporter des bénéfices à la base », puis (le temps faisant son œuvre) .. »dont le budget serait respecté », PUIS, finalement qui verront ce même budget dépassé de manière si insoutenable qu’une seule pauvre petite ville comme Sion ne pourra jamais l’assumer et qu’il faudra appeler le canton à la rescousse… Et bien… rien.. voilà, tout est là. Ah non.. et bien: entraînement de la part du Président de cette ville et le conseiller karatéka dans cette ruineuse aventure (il y a eu, ici). Et sauvetage des habitants de cette ville à l’inverse (heureusement), par des opposants vifs, lucides et réalistes (VOUS Me Riand d’ailleurs bien sûr en première ligne).
Et d’ailleurs, filer la patate chaude de la ville au canton, ou… de vous à « moi » autrement dit (et de vous à moi (aussi)), c’est par très malin. Enfin SI, très malin mais pas très « SYMPA » par contre ;.) Moi qui riais déjà de la « tannée » monumentale qu’allaient prendre les sédunois tout seuls sur la gueule… et finalement je suis sollicité moi-même… Ouinnn
Et après, dans cette affaire… Ce milliard qui rend tout le monde fou. Si on l’a pas parce qu’on fait pas les jeux olympiques… on pourra toujours le demander à Berne pour faire de la publicité normale… Traditionnelle, classique, faire tous les salons des tours operators du monde entier pour vanter Sion, le Valais, la Suisse. Et demander des subsides à la Confédération POUR CA… arguant à cet effet des baisses de nuitées et une économie du tourisme sinistrée.. Et comme ce canton a subsidié les remontées mécaniques (en souffrance elles aussi) pour 157 mios de francs l’année passée… (!??!)
Et puis ensuite pour finir: On n’oubliera pas non plus que « bien mal acquis ne profite jamais ». Les suisses allemands ne veulent pas payer ce milliard. Ils ont été trahis par leurs élites à Berne au moment où ce montant a été octroyé. Ils nous garderont une rancune à mort à vie (rien à voir avec la Moravie ici NB) pour cette arnaque de la part de l’etablishment suisse et international pour offrir des jeux des jeux à un pays et un monde. . . DANS LE MEME DESSEIN que ne l’étaient déjà les jeux du cirque il y a 5000 ans, c’est-à-dire: pour que le peuple continue d’être abruti et oublie les VRAIS problèmes de société en attendant. (A savoir que le monde est fou et qu’il faut le soigner, bref).
Et ce n’est donc pas qu’une affaire de gros sous mais d’intelligence et de DIGNITE même, quant à arrêter de vouloir montrer son cul à tout le monde (sur la place de la Planta par exemple disons) et en faire la quête ensuite. Et avant; et pendant; et partout.
Bonjour,
Si je comprends bien l’enjeu de l’affaire … Lors de la votation de juin, les citoyens de la Commune de Sion vont devoir accepter de gérer le surplus du déficit inconnu des JO 2026 sans avoir
– aucune compétition dans la ville
– et avec une augmentation conséquente des logements vacants en ville (village olympique) alors que la région souffre déjà d’une pléthore d’appartements en location ?
–
Quelqu’un peut-il aussi me préciser la votation du 10 juin.
Quelle sera la position finale que l’on adoptera ..
… si les citoyens de Sion refusent les JO…
… mais les citoyens valaisans les acceptent ?
Merci pour vos précisions !
Un conseiller d etat qui ne sait pas lire des lettres , des édits , des droits . Provenant de gens au dessus
de toutes critiques de par la connaissance et l étude que la qualité …
Compense en un savoire inspiré des rituels de combats d animaux célébres en substences ! Par exemple ce sport . Un coq de plus …
Non ; il ne sait pas lire le français et c est grave . Il viole en droit demandé d être entendu de même .
Voici la classe qui ne correspond pas a cet art martial . La lacheté intellectuelle crasse .
Un enfumage d encensoire de la pire espèce , une parodie d opéra sans souffle de dignité , afin de camoufler
les questions qui tuent ! L incertitude certaine de travestire les mensonges actuels . De l état ! Un
camouflet bis répètita . Renfluez les caisses du mercure !
Mensonge gargantuesque tu as trouvé ta diva ! Rire .
Votre substance sans pardon : ni fois ; ni lois , tueuse de votre santé : que de vôtre futur ./ corr
C’est très simple … les citoyens valaisans DOIVENT et REFUSERONT les JO.
Oui je doute de la crédibilité de Frédéric Favre lèche bottes à collège de mensonges réputés qu’ en série ?
Combien d affaires douteuses ? Et de mensonges pathologiques !