SION JO 2026. DELICES OLYMPIQUES (136)

(TRANSMIS PAR COURRIEL PAR RODOLPHE LE TENEBREUX [CONNU DE LA REDACTION])

 

Salut L’1Dex,

Au cas où tu ne l’aurais pas déjà vue, j’ai découvert hier soir par hasard sur Canal 9, l’émission :

Pour ou contre la candidature aux Jeux olympiques? Débat contradictoire sur Sion 2026  – Rubrique  « C’est vous qui voyez » – Canal 9 – Jeudi 19 avril 2018, 19.00

Le Valais peut-il organiser les Jeux olympiques de 2026? Le montage financier est-il solide? Que restera-t-il au-delà des deux semaines de compétitions? Que penser des réformes annoncées par le CIO?
Autant de questions que l’on se pose ce soir sur Canal9 avec quatre invités qui débattent de la candidature Sion 2026:

– Frédéric Favre, conseiller d’Etat
– Sophie Lamon, ancienne championne d’escrime
– Cyrille Fauchère, coprésident de l’UDC du Valais romand
– Thierry Largey, député au Grand Conseil

Les citoyens valaisans se prononceront sur la candidature le 10 juin 2018.

Lien pour voir la vidéo de l’émission :  https://vod.infomaniak.com/redirect/canal9_1_vod/folder-41660/mp4-12/inf-debat-jo-exrait-20180419.mp4

Il faut absolument prendre les 60’ pour visionner l’émission, elle est, pour l’instant, une pièce maîtresse pour un énorme NON à ces JO 2016. Tous les arguments forts y sont clairement exprimés par Fauchère et Largey. Favre et la jolie petite escrimeuse étaient totalement à côté de la plaque ! Des arguments assassins pour la ville de Sion en particulier, mais aussi pour le reste du VS non directement concerné ! Un délice..

Bonne journée.

13 pensées sur “SION JO 2026. DELICES OLYMPIQUES (136)

  • 22 avril 2018 à 17 h 03 min
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    Suivant votre conseil, j’ai regardé l’entier du débat et, contrairement à vous je ne vois pas en quoi les opposants ont été plus crédibles que les autres. Pour moi c’est le status quo! Je fais partie des indécis et si Frédéric Favre a le don de m’irriter, Thierry Largey me fait l’ effet de quelqu’un qui s’arrange en permanence avec la vérité. Sophie Lamon et Mr. Fauchère m’ont paru de loin les plus honnêtes (un UDC, si c’est pas malheureux…).

    Bref, je suis pas plus avancé et ce n’est pas votre commentaire totalement partisan qui y changera quelque chose !

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    • 22 avril 2018 à 17 h 49 min
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      Michel Astier,

      Je fais mon mea culpa. Et je transmettrai à qui de droit.

      Cela dit, l’argument qui me fait plonger définitivement vers le NON est le propose de Philippe Varone, reprenant celui de Frédéric Favre, disant qu’il y aurait un bénéfice d’exploitation à la fin. Ben, voyons …

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      • 22 avril 2018 à 20 h 31 min
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        Par contre là on est d’accord , le coup du bénéfice, faut oser !

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      • 23 avril 2018 à 12 h 26 min
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        Le pire danger le 10 juin prochain pour l’abandon de cette idée folle d’organiser des jeux dans un minuscule petit bac à sable de 350’000 habitants seulement, c’est le vote du « Oui pourquoi pas ». C’est-à-dire le vote de tous les gens qui n’y connaissent rien mais qui votent (oui) quand même…
        (Pour être « gentils »… (mais qui ne seront que **** … en réalité )).
        Et dieu sait s’ils sont nombreux, en plus, ces gens, puisque les INITIANTS EUX-MEMES en font partie. Qui ne comprennent RIEN en effet à ce qu’ils vendent ceux-ci…
        ((Et) militent néanmoins comme des forcenés pour ce « Oui pourquoi pas »…
        (et sur leur temps de travail en plus, bon bref).
        Et alors, à tous ces gens là (initiants compris toujours ici), pourquoi ne pas voter « NON, pourquoi pas »… ?
        (Ou alors la fermer au moins ?) (Genre vote blanc ou alors aller à la pêche ce jour-là.) Tant qu’à ne rien y comprendre, ne rien y connaître… (?)
        Moi c’est ce que je fais en tous cas.
        (Bon après ya des paramètres éthiques philosophiques et humains qui me font pencher pour le non (à cette obscénité) mais bon, là c’est autre chose, ici on parle que de thune)
        (et ce qui bien dommage et même dramatique d’ailleurs, mais bon, à 2 mois de la votation, il n’est malheureusement plus temps d’avoir des états d’âme).

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        • 23 avril 2018 à 19 h 05 min
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          Dom,

          Si j’ai bien compris vous faites partie des seuls qui y comprennent quelque chose. Mais au delà du mépris que vous portez aux indécis et aux partisans,quels sont vos arguments ?

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          • 24 avril 2018 à 0 h 55 min
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            Et bien justement vous n’avez pas bien compris Michel Astier.
            (Et parce que) je dis JUSTEMENT en effet que je ne comprends rien à toute cette affaire (je vous copie colle ici le passage de mon précédent commentaire qui en atteste d’ailleurs:
            « Et alors, à tous ces gens là (initiants compris toujours ici), pourquoi ne pas voter « NON, pourquoi pas »… ?
            (Ou alors la fermer au moins ?) (Genre vote blanc ou alors aller à la pêche ce jour-là.) Tant qu’à ne rien y comprendre, ne rien y connaître… (?)
            Moi c’est ce que je fais en tous cas. » fin d'(auto) citation…)

            Et ainsi avez vous donc ici, cher M. Astier, tout à la fois l’explication que je ne méprise personne et mon argument, à savoir, celui que l’on pourrait résumer par la citation du légendaire proverbe connu depuis la nuit des temps: « Dans le doute, abstiens toi ».

            (Après… ceux qui auront voté OUI sans savoir (c’est-à-dire… TOUT LE MONDE (les initiants compris), puisque PERSONNE n’y comprend rien (je dis)) auront droit à tout mon mépris… CA OUI…)
            (Et je ne manquerai pas de le leur dire d’ailleurs…)
            (Et même pas forcément mon mépris d’ailleurs … mais plutôt ma .. PITIé en fait (même.)) (Et alors, RDV ici le 11 juin… si jamais ça vous intéresse… ;.) )

  • 23 avril 2018 à 5 h 53 min
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    Ayant travaillé sur de nombreux sites de candidature aux JO d’hiver ( Turquie, Corée, Chine, Canada, Kazakhstan, Géorgie, …), je me permets un avis, peut-être plus professionnel que d’autres, exprimés ici et sur d’autres médias.
    La candidature suisse est celle que je préfère. Elle apportera, sans doute pour moi, un bénéfice pour nos populations, surtout celles de nos vallées alpines.
    Même le village, dit olympique, peut devenir un laboratoire de nouvelles technologies, un nouvelle façon de penser l’habitat du futur, pour des générations. Les 4 semaines prévues pour les athlètes, seront anecdotiques dans la durée, mais un excellent prétexte, avec une échéance parfaite pour un projet de ce genre.
    La clé de ce projet sera son cahier des charges. Je serai d’ailleurs heureux de faire partie des personnes chargées de le rédiger.
    La candidature fait déjà réfléchir à notre avenir. Avec elle, nous avons une opportunité unique de remettre en question, par exemple, les modèles économiques de notre agriculture, de notre tourisme, de notre notre soutien à la recherche. Nous serons poussés, enfin, à réfléchir davantage aux moyens de maintenir une population active et heureuse dans nos vallées alpines. Ne pas vouloir les jeux, c’est faire preuve d’un esprit rétrograde, d’un manque de volonté de faire mieux que ce qui se fait aujourd’hui, c’est oublier que les cinq dernières générations de nos populations, surtout alpines, ont bénéficié de la construction et de l’exploitation de nos barrages, puis de notre tourisme. Et maintenant, quel(s) autre(s) projet(s)?. Les JO peuvent donner l’impulsion basique pour faire du Valais, notamment, un modèle de technologie à visage humain pour les régions alpines

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    • 23 avril 2018 à 22 h 17 min
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      c’est oublier que les cinq dernières générations de nos populations, surtout alpines, ont bénéficié de la construction et de l’exploitation de nos barrages, puis de notre tourisme.
      Les populations alpines ont bénéficié de la construction et de l’exploitation de nos barrages avant de bénéficier de notre tourisme ? Ah!
      De quand date la construction des premiers barrages en Valais ? Certainement pas il y cinq générations.

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      • 24 avril 2018 à 8 h 14 min
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        Salut Urbain, 5 générations? Lorsque le père de ma femme travaillait aux barrages, Il a amélioré la vie économique et sociale de ses parents. A l’époque, les familles étaient soudées d’une génération à l’autre. Puis le tourisme a pris le relais. Auparavant, ce fut l’assainissement de la plaine du Rhône qui a été LE grand projet qui a transformé le Valais. Les JO sont finalement un petit projet, mais qui dit ou voit mieux ? Certes, je compte sur la technologie (EPFL) et la recherche ( HES), etc. Mais l’un va bénéficier de l’autre.
        Tu veux rester sur place, sans exercices? Et bientôt demander l’aide sociale? Le Valais doit bouger pour survivre!

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        • 24 avril 2018 à 16 h 45 min
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          Ton raisonnement pour les 5 générations tient la route et me convient.
          Par contre, pour ce qui est de ta vision ‘apocalyptique’ de la survie du Valais dans le cas où le CIO n’attribue pas les JO de 2026 (voire 2030) à Sion, j’ai peine à croire que la conséquence serait telle pour notre canton.

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          • 24 avril 2018 à 23 h 32 min
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            Urbain, les JO ne sont pas une question de survie pour le Valais. Nous pouvons nous en passer. Mais les JO peuvent être un excellent levier pour améliorer l’ordinaire. D’aucun disaient que les barrages seraient une catastrophe pour le Valais, comme l’arrivée du train, comme le tourisme comme les R2, comme les JO… Je fais confiance à la population, à nos députés, pour maîtriser cette nouvelle opportunité.

  • 23 avril 2018 à 8 h 01 min
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    J’aime bien Sophie Lamon, mais j’ai eu l’impression qu’on l’avait envoyée au casse-pipe face à deux politiciens rompus aux débats. Par ailleurs elle est restée dans l’émotionnel, jamais dans le factuel. Or, le dix juin, le vote devrait se faire sur le factuel et non pas uniquement l’émotionnel. Quant à FF, il demeure calme et courtois, rare pour un politicien, mais, pour le reste, je ne suis pas encore convaincu.

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  • 24 avril 2018 à 18 h 05 min
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    lorsqu’on suit les « affaires valaisannes » (dernières en date « Giroud », « Verbier », « Crans-Montana »etc) on est en droit de se poser la question de savoir si ce canton est capable de réaliser un tel projet sans provoquer de nouveaux scandales. Sans doute le CIO est-il renseigné !
    Je suis tenté de conclure : surtout pas !

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