SION JO 2026. ALBELDA ET RECROSIO AU SECOURS DES JEUX OLYMPIQUES ! (158)

Il fallait oser.

Christophe Spahr a osé.

Il a écrit qu’il approuvait la position de Christian Constantin selon laquelle nombre d’opposants n’ont jamais rien entrepris et bâtissent leur carrière sur le dénigrement d’autrui.

Que Christian Constantin le dise, personne de sérieux ne s’en étonnera. Son univers personnel est tant marqué par des actes, parlés et actés, si resplendissants que l’on ne sait plus s’il faut plus le féliciter pour avoir botté le cul à Fringer ou pour avoir remis à leur place tous ces intellectuels assis qui se moquent des cons qui marchent. Quand on avoue valoir 250 millions au jugé, pesé, coulé, on peut bien se transformer au bal de la choucroute une année en Napoléon d’Octodure, puis la suivante en Elvis Presley de Nashville. Un pas de plus et il recevra le Prix Littéraire du Valais du Renouveau que lui remettra sur un podium à la Planta Françoise Berclaz de La Liseuse. Cri Cri d’Amour est si heureux d’être vu là où il pleut, là où il luit, là où il vente, là où il neige, là où la pluie mouille, là où le soleil réchauffe, là où le béton se fait pognon, que l’on s’étonne presque que la TV locale ait préféré interroger La Liseuse au boss du FC Sion pour se prononcer sur la force de la culture en Valais. Encore un effort et CC convaincra Stéphane Albelda et Frédéric Recrosio de s’unir pour magnifier le saucisson et Caligula lors de la prochaine choucroute gastronomique octodurienne de ce club de foot si cher au coeur des Valaisans.

Mais Christophe Spahr, le spécialiste du hockey sur glace du NF, a sauté un cran. En chroniqueur des oeuvres de son amoureux héroïque, il a abattu d’une seule flèche admirablement tirée de son canapé-lit tout ce que le Valais compte d’opposants au projet olympique. Ces gros lourds ne sont que des êtres humains qui n’ont rien fait de leur vie et jouissent du plaisir de dénigrer ceux qui osent entreprendre. Un tel mépris affiché pour ceux qui pensent autrement en dit long sur la qualité de l’argument fielleux avancé sur la place publique par quelqu’un qui pourrait sans trop exagérer privilégier la pensée d’un puck à celle de Raphaël Arlettaz ou de Jean-Claude Pont. En ces temps de post-vérité, le Conseil d’État pourrait donner le prochain Prix Rünzi à Christophe Spahr et proposer à Christian Constantin d’être le maître officiant lors de la remise du chèque.

Après avoir privilégié le coq de Savièse à la culture, le NF n’a pas hésité à glorifier l’insulte et le mépris pour plaire à tous ces ploucs et moutons qui ne voudront pas que leur concierge et leur coiffeur croient qu’ils n’ont rien fait de leur vie. Ils auront au moins soutenu, avec Christian et Christophe, le OUI aux JO de l’an 2026 après Jésus-Christ !

Bonjour à tous ceux qui ont définitivement raté leur vie !