LA FILLE DE LA PHOTO REPOND A NARCISSE PRAZ

(PAR L’IMPARFAIT C.C. [BIEN CONNU DE LA REDACTION DE L’1DEX])

 

Liminaire de l’auteur

 

Mais peut-être c’est trop révolutionnaire pour vous sur votre site ça choquerait peut-être trop le monde anarchiste…

Prendez 2 minutes pour lire… je préfère voir elle… mais vous avez raison c’est sûrement une folle… une débile… une malade mentale…  une illettrée… une pauvre femme ignorante… une simple d’esprit… une NULLE ARCHINULLE… QUI  est plus à PLAINDRE ??? ELLE… NOUS OU ce pauvre vieux débile en haut dans sa montagne ?????

 

Fou qu’il est… j’en ait de la peine pour lui vraiment !!!!!

 

Allez va bon week-end…

 

La fille de la photo

 

Actualité

Daniel Gerber (Livenet) mardi 01 octobre 2019

La photo de Kim Phuc Phan Thi a fait le tour du monde. Elle est la fille nue qui courait en pleurant dans une rue vietnamienne. Cette victime des atrocités de la guerre viendra le mercredi 2 octobre à Yverdon-les-Bains et racontera son parcours de vie.

Il y a peu de photos de la guerre du Vietnam qui ont, à ce point-là, rendu compte des horreurs vécues par la population locale. Le 8 juin 1972, Kim Phuc Phan Thi s’enfuit de chez elle à Trang Bang. Derrière elle, une énorme colonne de fumée. Elle a miraculeusement survécu à l’attaque d’une bombe au napalm. Dans cette âme d’enfant, des blessures psychologiques et des brûlures physiques sont là pour longtemps.

Le photographe de presse Nick Ut, l’auteur de la photo, prend soin de Kim et la conduit à l’hôpital. Elle est si gravement blessée que le personnel médical pense qu’elle ne survivra pas à ce bombardement. 30% de sa surface corporelle est brûlé, presque tout son dos, son cou et son bras gauche. Il faut des greffes de peau, une chirurgie et des soins pendant deux ans avant qu’elle puisse rentrer chez elle.

Dieu trouvé dans une bibliothèque
Kim Phuc veut quitter son pays et, plus tard, même s’ôter la vie. Avant de parvenir à ses fins, elle découvre en 1982 à la bibliothèque de Saïgon (Hô Chi Minh-Ville) un Nouveau Testament. Elle le dévore, comme elle le relève au magazine « SpirituElles ». Elle est particulièrement frappée par un passage de l’évangile de Jean où Jésus dit : « Je suis le chemin, la vérité et la vie » (Jean 14.6). Elle découvre la signification de ce texte pour elle personnellement : « Aucun autre Dieu n’est mort pour moi ! », lance-t-elle.

Au début, cela ne convient pas à sa famille. Aujourd’hui, elle et ses frères et soeurs se sont tournés vers le Christ. Longtemps, elle a buté sur la question de savoir pourquoi Dieu tolérait la souffrance. « Lorsque Dieu crée Adam et Ève, explique-t-elle, il ne les préprogramme pas pour leur bien. » Ils pouvaient prendre leurs propres décisions. « Dans mon cas, ce sont des personnes perverses qui ont décidé d’inventer et de libérer du napalm. Ce n’est pas Dieu ! »

En 1986, elle termine ses études de médecine à Cuba. Depuis 1992, elle vit au Canada.

Sa photo, une ressource pour la paix
En 1997, elle fonde aux États-Unis la « Fondation Kim Phuc », qui crée des écoles, des orphelinats et des installations médicales. Elle œuvre aujourd’hui comme « ambassadrice de bonne volonté » de l’UNESCO. Du 1er au 6 octobre 2019, elle viendra en Europe : en Suisse, en France et en Italie. Elle sera à Yverdon-les-Bains le 2 mercredi octobre pour une soirée organisée par la « Maison de la Bible ».

La photo à travers laquelle elle est devenue célèbre dans le monde entier, Kim Phuc ne l’a longtemps pas aimée. Elle n’appréciait pas de voir son corps, nu et meurtri. « Après la naissance de mon premier enfant en 1994, explique-t-elle, je pensais que je devais faire quelque chose pour protéger mon bébé et tous les enfants du monde. » Elle s’est engagée comme « ambassadrice de bonne volonté » pour l’UNESCO, avec le désir de soutenir la protection et l’éducation des enfants, des orphelins et des victimes innocentes de la guerre. Sa photo est donc devenue une ressource puissante pour la paix.

En prise avec des pensées de mort
Dans « SpirituElles », cette mère de deux enfants explique qu’il fut un temps où elle priait pour sa guérison. « Quand j’ai réalisé que Dieu ne me guérissait pas, je lui ai demandé de me faire mourir pour que je puisse être avec lui sans souffrir. Mais mon attitude a changé. Lorsqu’aujourd’hui, je regarde mon corps, c’est comme si je lisais un rappel que Dieu m’adresse : ‘Je suis avec toi’. » Son corps continue à lui faire mal. En octobre 2015, ses douleurs ont été atténuées grâce à une nouvelle technique laser.Parmi ses prochains projets : la construction d’une bibliothèque à l’endroit même où l’attaque au napalm a eu lieu.

Un livre intitulé « Sauvé de l’enfer. La fille de la photo raconte » témoigne de son parcours de vie. L’une des phrases clés de cette autobiographie est la suivante : « Lorsque vous vous allongez, votre problème est comme une énorme montagne devant vous. Mais si vous vous redressez, le problème est à vos pieds. »

Daniel Gerber (Livenet/Jesus.ch)/ Adaptation française lafree.info

« La fille de la photo raconte », conférence de Kim Phuc Phan Thi à Yverdon-les-Bains (Salle de la Marive, Quai de Nogent 1) le mercredi 2 octobre (20h15). Plus d’infos sur la soirée à Yverdon-les-Bains, à Paris et à Turin.

Se procurer le livre de Kim Phuc Phan Thi : « Sauvée de l’enfer. La fille de la photo raconte ».

kim phuc vietnam

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