Le Blick et Lucie Fehlbaum en mode journalisme crottes d’ânesse en Valais
Lucie Fehlbaum, nous dit le Blick, est une journaliste qui aime la politique romande et ses aléas, Elle est aussi une femme de presse dépourvue d’une croustillante imagination qui a cru devoir suppléer à ce manque en faisant sur le dos de Aferdita Bogigi, ancienne candidate montheysanne au Conseil aux États, un prétendu acte de transparence en pénétrant dans la vie d’une dame trahie sans noblesse par un ex-mari consternant.
Lucie Fehlbaum, dont la vie semble d’une droiture sans tâche, peine à comptendre qu’une personne peut être tristement seule et dans le même temps mariée. Un homme ou une femme politique n’a pas à tout dire, n’a pas même à envisager qu’un ancien conjoint puisse faire acte de nuisance par crainte que son ancienne femme ne lui démontre qu’elle est capable de liberté hors de son champ.
Lucie Fehlbaum peut se racheter et appeller pour une vraie interview celle qu’elle a voulu transpercher d’une flèche inutilemrnt méchante.
Je ne connais pas Aferdita, mais si l’un de mes lecteurs me lit attentivement et connaît cette dame, qu’il lui dise que je l’invize vorfialement à MPCM, nous passerons ensemble sans le moindre doute une heure riche en découvertes.
J’ai connu Aferdita à son arrivée en Valais, où je fonctionnais comme sa mandataire. Cette femme, jeune, arrivée de Serbie (Kosovo), m’a fortement impressionnée. Très vite, elle s’est imposée par ses qualités humaines et sa vive intelligence. Son acquisition de la langue française, avec une rapidité remarquable, lui a permis d’aider les requérants placés dans nos centres d’accueil. Centres d’accueil qui bénéficiaient de son aide bienvenue.
Je suis scandalisée par cet article idiot, ne reflétant nullement la réalité d’une femme courageuse, qui a su donner un grand sens à sa vie et à tous ceux pour qui elle s’engage.