SION JO 2026. COUPER LA TÊTE AU DIEU OLYMPE (226)
Le CIO, celui de Jean-Philippe Rochat, l’associé de Me Carrard, dont les liens avec l’organisation sont ceux d’un père avec un fils, a donc osé appâter le Valais. Aidé par Christian C., il a fait la cour à Jean-Michel Cina, puis s’est glissé dans le lit du Sédunois. Il croyait alors, après ces ébats échangistes, pouvoir poursuivre ses aventures en charmant la majorité des Sédunois et la majorité des Valaisans. S’il fallait promettre un milliard à travers un aïeul des épousées polygames, cela ne poserait guère de difficultés, le vénérable sage confédéral disposant d’une épargne bien suffisante. L’affaire semblait donc entendue, le prétendant lausannois aux trois lettres n’ayant guère l’habitude d’être rejeté par ses convoîtées.
Mais voilà que subitement les cibles projetées, bien moins émoustillées que ne l’imaginèrent les riches fortunés, se firent revêches et même un peu vaches, ce qui n’eût dû pas étonner les compagnons de chambrée du CIO, si ceux-ci avaient su tendre l’oreille, retirer leurs pamirs d’autistes affairistes et voir les combats de reines.
Subitement conscients du manque d’enthousiasme de leurs deux dulcinées, Sion et le Valais, un brin émêché et carrément désappointé, le vieux tourtereau conclut qu’il convenait de faire miroiter une faramineuse dot.
C’est à ce point de l’histoire que nous en sommes. Et tous les voisins s’interrogent : Sion et le Valais, vont-elles se se rebiffer et couper la tête à ces personnalités histrioniques qui rêvèrent d’être les seuls rois ?
Dans les coulisses des palais, on croit savoir que la Place des Potences sera revisitée et qu’aux trois derniers condamnés, si bien chantés par Corinna Bille, succéderont, cette fois sur le billot, les têtes des infiltrés du CIO.
L’histoire serait ici parfaite, de savoir que, à la femme de Maurice Chappaz, viendrait se joindre dans la lutte contre les maquereaux des cimes blanches un peuple valaisan frétillant d’avoir pu couper la tête à aux imbéciles laquets ou baillis des grands de là-bas, Hermann(1) et Gessler (2).
Après l’arbalète et la corde au cou, l’urne sauvage comme arme de « clarification » politique !
Bonjour à tous ceux qui lèveront le verre aux Potences à la gloire de Corinna Bille (3) !
Post Scriptum : Sion et le Valais font l’objet d’une drague de lourdingues. Pour ces prédateurs, Sion et le Valais sont deux magnifiques proies.
(1) connu de la rédaction
(2) connu de la rédaction
(3) auteure de Théoda
Cher Monsieur Riand, Décidément à l’1Dex, on en a plus que pour les JO et la Catalogne. De quoi parlerons-nous dès le 11 juin? Que de fiel déversé sur le projet et les porteurs du projet dont le seul tort est de faire preuve d’ambition pour un canton qui a rudement besoin de défis porteurs pour le futur. Désolante attitude.
Les urnes parleront dans une petite quinzaine de jours. Le verdict, s’il est négatif pour le projet sera sans appel. Le oui entraînera encore et encore bien des articles assassins car la route sera parsemée de cailloux.
De quoi donc demain sera-t-il fait? Un projet phare de plus passera-t-il à la trappe dans notre Vieux-Pays? Que de frilosité désopilante d’aucuns font-ils preuve, de manière récurrente pour ne pas dire systématique, voire systémique. Le non à tout aura-t-il encore une fois un écho dans notre vallée du Rhône? A voir. Je reste malgré tout optimiste malgré les attaques au ras des pâquerettes et souvent, malheureusement, sous la ceinture. L’exercice de la démocratie mérite plus de hauteur. Vous en conviendrez.