SAVOURER « J’AURAIS PREFERE BAUDELAIRE HEUREUX »
(PAR ISABELLE ZUBER)
Quelle belle fin de journée, entre lecture, musique, échanges, rencontres, buffet et ce délicieux vin espagnol !
En train de savourer « J’aurais préféré Beaudelaire heureux « , partagée entre la beauté de la forme et le nauséabond total du fond : la perversion psychologique et ses dégâts sur autrui, quand elle affecte quelqu’un qui dispose d’un certain pouvoir.
J’avais lu, il y a longtemps, « L’abus de pouvoir rend malade » (Sylvie Portnoy Lanzenberg), puis, tout récemment, l’article du Temps sur le syndrome d’hubris, cette « maladie du pouvoir » (article paru le 24 septembre de cette année), que je vous encourage à lire.
Forme littéraire donné à un témoignage, « J’aurais préféré Beaudelaire heureux » parle aussi de Catalogne et de résilience, de la lumière qui les traverse toutes deux.
Il n’y a pas à hésiter, courez l’acheter ! La Liseuse dispose d’un stock, ainsi que, certainement, toute bonne librairie.
Il y a cependant une question qui me taraude, maintenant : à qui le voleur vole-t-il le-s mot-s ?
LES CRITIQUES DU LIVRE A CE JOUR
Geneviève Levine a lu Béatrice Riand
Ariane Manfrino a lu « J’aurais préféré Baudelaire heureux »
Au Québec, Pierre Métrailler a lu « J’aurais préféré Baudelaire heureux »
« Une abeille ne va pas vers les fleurs fanées », par Olivier de Giuli
La critique de « J’aurais préféré Baudelaire heureux » par Yves Gaudin
La Fille Presque Parfaite a lu « J’aurais préféré Baudelaire heureux »
Aliocha a lu « J’aurais préféré Baudelaire heureux »
Moi aussi, Aliocha, j’ai lu « J’aurais préféré Baudelaire heureux » et « Le petit juge »
Stéphane Albelda, après avoir lu « J’aurais préféré Baudelaire heureux » : « tout est là »